Que faut-il savoir avant de prendre le médicament Escitalopram ?

par Friendly Beauty
Escitalopram : effets secondaires, interactions avec l’alcool, durée d’efficacité et avis d’utilisateurs

S’il est souvent prescrit pour soulager plusieurs maux, Escitalopram est d’abord un antidépresseur. Il agit efficacement contre la dépression, les attaques de panique et les troubles compulsifs. Malgré son efficacité remarquable, il est tout de même recommandé de respecter la dose prescrite pour éviter les effets secondaires du produit. Retrouvez les indispensables sur la formule dans la suite.

Escitalopram : de quoi s’agit-il ?

Dans la grande famille des antidépresseurs se trouve Escitalopram, un inhibiteur sélectif du recaptage de la sérotonine. Il s’utilise principalement pour soulager les problèmes de dépression, le trouble obsessif-compulsif, les troubles obsessionnels compulsifs et l’anxiété. La prescription de ce produit a pour objectif d’augmenter la concentration du neurotransmetteur nommé sérotonine dans le sang, en vue de l’amélioration continue de l’humeur et du bien-être.

Habituellement, Escitalopram agit rapidement, notamment dans un délai compris entre 2 et 4 semaines après sa prise. En raison de son efficacité agissante, il est considéré comme l’un des antidépresseurs les plus prescrits aujourd’hui.

Il est disponible en pharmacie sous plusieurs formes, à savoir la version de 10 mg et celle de 20 mg. Quelle que soit la version que vous achetez, il est recommandé de ne jamais dépasser la dose maximale journalière de 10 mg.

Par ailleurs, le mode de fonctionnement d’Escitalopram est assez simple à comprendre. En effet, chaque comprimé consommé agit directement sur le cerveau en augmentant la quantité de sérotonine produite. Une fois secrété, le neuromédiateur stimule certains neurones et facilite par conséquent la régulation de l’humeur.

Escitalopram : de quoi s’agit-il ?

Quels sont les effets secondaires possibles du médicament ?

Tous les médicaments n’agissent pas de la même manière sur tous les patients. Chez certains, il arrive bien souvent qu’un produit de santé provoque des effets secondaires. Il s’agit généralement d’une réaction indésirable comme des douleurs aiguës qui se manifestent quand bien même le produit est pris à des doses normales. Pour ce qui concerne Escitalopram, voici quelques réactions qui découlent de la consommation de ce médicament :

  • Changement d’appétit ;
  • Brûlures d’estomac ;
  • Congestion nasale ;
  • Constipation ;
  • Diarrhée ;
  • Douleur gastrique ;
  • Douleur musculaire ou articulaire ;
  • Fatigue ;
  • Gain de poids corporel ;
  • Insomnie ;
  • Modification de la fréquence cardiaque ;
  • Sudation ;
  • Trouble du sommeil, etc.

Il s’agit là d’une liste non exhaustive d’effets secondaires qui ne se manifestent pas forcément chez tous les utilisateurs d’Escitalopram.

Escitalopram et alcool, quels risques pour la santé ?

Il est absolument déconseillé d’associer l’alcool à la consommation d’Escitalopram. À la base, la prise d’Escitalopram entraîne la baisse de la vigilance, la somnolence et l’apparition de vertiges. Par conséquent, la prise simultanée d’alcool et d’Escitalopram peut amplifier significativement les effets secondaires et mettre le patient dans une situation de danger extrême. De même, il est important de comprendre que la prise d’alcool peut réduire de manière significative l’efficacité des enzymes contenus dans le médicament.

Quelles sont les associations à éviter avec Escitalopram ?

Pour optimiser les effets de ce médicament, il est recommandé de ne pas l’associer avec des inhibiteurs de la monoamine-oxydase. Par exemple, les dangers sont énormes en cas d’interactions entre Escitalopram et :

  • Le moclobémide ;
  • L’Iproniazide ;
  • Le Linézolide.

Le non-respect de ses prescriptions peut conduire à des troubles digestifs, neuropsychiques, végétatifs et moteurs.

Que disent les avis des utilisateurs du médicament ?

Dans l’ensemble, les avis sur Escitalopram sont bons. De nombreux attestent avoir vu s’estomper les effets nauséeux qui les accablaient en l’espace de cinq mois seulement. D’autres encore affirment avoir retrouvé le moral rapidement et vu l’angoisse du soir disparaître après quelques semaines.

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